Du béton nostalgie des façades fatiguées
Les ombres du passé alimentent les regrets
Rive Droite, Rive Gauche – Ô nuits de débauches
Remonter ces artères me ramène en arrière
Des bâtiments rouillés triste modernité
Des murs restés muets témoins de nos secrets
Rive Gauche, Rive Droite – Rien ne s'efface
Des bravades, des lâchetés restées inavouées
hier comme aujourd'hui ces quartiers hantent nos vies
aujourd'hui comme demain dans ce désert urbain
hier comme aujourd'hui à errer jour et nuit
aujourd'hui comme demain dans ce désert urbain
ce désert urbain
ce désert urbain
Des navires désarmés comme des remparts d'acier
Des entrepôts rasés sur des quais délabrés
Rive Droite, Rive Gauche – Ô nuits de débauches
Tout est abîmé terrible et désolé
Toutes ces rues désertées, tous ces rideaux fermés
Les vestiges du passé le long des voies ferrées
Rive Gauche, Rive Droite – Rien ne s'efface
Condamné à traîner dans cette cité brisée
hier comme aujourd'hui ces quartiers hantent nos vies
aujourd'hui comme demain dans ce désert urbain
hier comme aujourd'hui à errer jour et nuit
aujourd'hui comme demain dans ce désert urbain
ce désert urbain
ce désert urbain (est le tien)
RIXE hits that soft spot of nostaligia I have for old school French punk while being unmistakably and unapolegictally unique. Every track fuken shreds deen_du_nord