Je me rappelle encore oui ces journées sans fin
Tiraillé par la peur, la peur du lendemain
Je me rappelle encore oui ces journées sans fin,
Journées sans fin
j’ai sillonné la ville, perdu dans mes pensées
et me suis échoué sur des parkings déserts
enfermé dans ma caisse à regarder les vagues
seul, seul, face à la mer,
j’ai scruté l’horizon, mon avenir incertain
j’ai marché sur les quais, la peur de l’inconnu
à me faire un sang d’encre, au bord de l’agonie
seul, seul avec mes peurs
Je me rappelle encore oui ces journées sans fin
Tiraillé par la peur, la peur du lendemain
Je me rappelle encore oui ces journées sans fin,
Journées sans fin,
j’ai traversé le pont, rongé par l’inquiétude
l’angoisse pour compagnie, les arrêts maladie
j’ai traîné ma déprime le long de l’Arsenal
seul, seul, face à mes choix
j’en ai bu des cafés en terrasse au Longchamp,
à relire l’Adversaire, seul le décor diffère,
surtout ne pas finir comme Jean-Claude Romand,
seul, seul, avec mes doutes
encore une journée sans fin
Tiraillé par la peur, la peur du lendemain
supported by 16 fans who also own “journées sans fin”
RIXE hits that soft spot of nostaligia I have for old school French punk while being unmistakably and unapolegictally unique. Every track fuken shreds deen_du_nord
From the first deadened cowbell to the last dissonant guitar interval, Dutch quartet Geo's new record is shaped for impact. Bandcamp Album of the Day Apr 25, 2024